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Route

Inspection des zones à risque à Grand Gaube et Gokhoola

16 mai 2025, 03:05

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Une visite de terrain a eu lieu à Grand-Gaube et Gokhoola, le jeudi 15 mai 2025, pour inspecter deux zones considérées comme des points noirs de la route, c’est-à-dire des endroits jugés dangereux pour les usagers. Cette inspection s’inscrit dans le cadre de la 8ᵉ édition de la Semaine mondiale de la sécurité routière, une initiative des Nations Unies (ONU), qui vise à améliorer la sécurité des routes à travers le monde. Cette visite a réuni plusieurs parties prenantes : le ministre des Transports terrestres, Osman Mahomed, des ingénieurs de la Traffic Management and Road Safety Unit (TMRSU) et des représentants de la police. Le rendez-vous avait été donné à la gare de bus de Grand-Gaube, tout près de l’entrée principale de l’hôtel Lux Grand Gaube.

Au cours de cette inspection, les équipes ont examiné les infrastructures existantes et identifié les problèmes récurrents, notamment l’absence de trottoirs sécurisés, obligeant les piétons à marcher sur le bord de la route, parfois en zone de circulation. Plusieurs plaintes ont été enregistrées à ce sujet, en particulier de la part des habitants et des usagers quotidiens de ces routes. Le ministre Mahomed a déclaré : «Mo finn trouv enn solision. Ena deux plas kot ti ena problem. Nou finn trouv enn solution pratik pou tou le de. Pa pou depans boukou, nou pou fer li avek enn tigit larzan. Nou pou met enn bidze ki moins ki 2 millions. Ena dimoun dir pena troittoir, zot bizin mars lor rebord. Nou pou aret sa problem la.»

Autrement dit, des travaux d’amélioration seront entrepris prochainement pour sécuriser ces tronçons de route, avec un budget limité à moins de Rs 2 millions. L’objectif est d’intervenir rapidement et efficacement, avec des solutions pratiques et peu coûteuses, pour garantir la sécurité des piétons comme des automobilistes. Cette démarche s’inscrit dans une politique plus large de prévention routière, dans un pays où les accidents de la route causent encore trop de drames chaque année. L’amélioration des infrastructures reste l’un des leviers essentiels pour réduire ces risques et protéger tous les usagers.

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