En une de l'express: Integrity Reporting Services Agency: le paradoxe; Autre titre: PNQ sur la négligence médicale alléguée : Où est passée la plainte du couple Quirin ?

Integrity Reporting Services Agency: le paradoxe

 Une institution qui enrichit surtout ses dirigeants et des hommes de loi

Sudhir Sesungkur : «L’IRSA est dirigée par deux étrangers qui coûtent très cher aux contribuables»

Tenir Maurice à l’abri de la corruption, en enquêtant sur les richesses qui méritent explication. Telle est la mission de l’Integrity Reporting Services Agency (IRSA), créée en vertu de l’article 4 de la «Good Governance and Integrity Reporting Act 2015». Selon le CEO, Paul Keyton, il n’y a eu qu’une seule saisie d’«unexplained wealth». Et pourtant, la hausse du blanchiment d’argent lié au trafic de drogue tend à prouver que nombreux sont ceux qui passent entre les mailles du filet. À l’instar des Gurroby, impliqués dans la saisie record de drogue à Pointe-auxCanonniers et dont les biens sont estimés à des dizaines de millions de roupies. Ce qui remet en question l’existence même de l’IRSA.

PNQ sur la négligence médicale alléguée : Où est passée la plainte du couple Quirin ?

«Inn dékapit mo zanfan amenn dan bwat minis Jagutpal dir ‘pa mwa sa, lapolis sa’», lâche Sweta Ram

Judiciary: Why the courts seem to struggle with drug cases

Recent years have seen large drug seizures, only to have such cases either not appearing in court at all or languishing in the legal system. The question is, why does the judiciary seem to struggle when it comes to dealing with drug cases?