Publicité
Village intégré: Beau Vallon Ltée tire le Sud-Est de son isolement économique et touristique
Par
Partager cet article
Village intégré: Beau Vallon Ltée tire le Sud-Est de son isolement économique et touristique
Fini le temps où l’identité et la réputation de Pointe-d’Esny, village situé à proximité de l’aéroport, se limitaient à son statut de village balnéaire où résident quelques privilégiés. Sa plage publique donne droit à une vue superbe sur un plan d’eau où se côtoient et s’entremêlent des camaïeux divers peignant une mer bleu turquoise qui donne le vertige.
La Compagnie de Beau Vallon Ltée (CBVL) veut faire de la destination Pointe-d’Esny un précurseur. Il s’agit de concevoir un projet phare capable de maintenir un rigoureux équilibre entre un passé qui s’enracine dans 97 ans d’histoire et un avenir plein d’incertitudes. Sa conception requiert du doigté et une capacité à mesurer les risques qu’il entraîne.
Dans ce contexte, le promoteur a dévoilé Pointe-d’Esny Le Village, jeudi, dans les Jardins du Château de Riche-en-Eau . C’était en présence de Mahen Seeruttun et de Mahen Jhugroo, ministres de l’Agro-industrie et du Logement respectivement.
«La région sud-est», soutient Thierry Merven, Chief Executive de CBVL, «dispose de nombreux atouts : son authenticité, son accessibilité, ses paysages agricoles et naturels préservés, le lagon le plus étendu de l’île et les nombreux reliefs qui la parsèment, offrant des vues imprenables sur le lagon turquoise, les îlots et l’arrière-pays. Le climat y est favorable et les avantages nombreux».
Ce vaste projet immobilier sera réalisé sur une superficie de 168 arpents, située en bordure nord de la route qui mène à la plage du village de Pointe-d’Esny. Avec sa place, ses petits commerces de proximité et ses équipements, son école prescolair et primaire, son centre sportif, sa supérette, ses restaurants et ses cafés, ses espaces de promenade et son beach club pour accéder à la mer, ce projet a été conçu pour reproduire un style de vie spécifique à un village où tout est familier. Son coût de réalisation est de Rs 9, 5 milliards.
Sa spécificité s’articule autour du souci de CBVL de mettre en place un projet ayant un ensemble de caractéristiques telles que:
◗le respect des particularités du site ;
◗ la préservation et la mise en valeur des zones humides ;
◗ le développement d’un cadre de vie où est remis en valeur tout ce qui vise à promouvoir, à préserver et à conserver le cachet authentique de l’île Maurice profonde ;
◗ l’aménagement d’un environnement qui favorise une vie de qualité, où la recherche du calme, du beau et du simple cohabite harmonieusement avec le confort avancé de l’habitat moderne ;
◗ la volonté démontrée qu’il est aisément possible de mettre en place un projet de développement immobilier de grand standing ouvert tant aux acheteurs mauriciens qu’aux étrangers, comme le stipule le Property Development Scheme. Un programme de développement qui veille à ce que l’émergence d’un marché immobilier ne favorise pas la ségrégation dans le pays ;
◗ la capacité à revitaliser l’économie de la région sud-est.
CBVL veut se démarquer des modèles ayant jusqu’ici abouti à l’aménagement de villes intelligentes (smart cities) notamment à Moka, à Omnicane, dans le Sud et à Médine. Car Thierry Merven a débuté sa carrière en France, où il a exercé comme urbaniste et spécialiste de l’environnement entre 1987 et 1996.
Dans ce pays, il a décroché une maîtrise en aménagement du territoire et un diplôme d’études supérieures spécialisées en aménagement et développement local de l’Institut d’aménagement régional d’Aix-en-Provence. «Notre projet répond à une demande grandissante de vivre dans un cadre plus authentique qui reflète davantage l’atmosphère et le cachet de l’île. C’est ce qu’on trouve dans le Sud-Est.»
Projet concrétisé dans cinq ans
<p>À l’échéance de la réalisation de ce projet immobilier dans cinq ans, les nouveaux atouts de Pointe-d’Esny se manifesteront sous la forme :</p>
<p>● d’un espace d’une trentaine d’arpents constitué d’étangs naturels, de végétation indigène restaurée où aucune construction ne sera permise. La végétation côtière d’origine sera en partie restituée ;</p>
<p>● de commerces de proximité ;</p>
<p>● de grands arbres qui bordent les avenues à l’entrée du village ;</p>
<p>● d’espaces publics, paysagés, dotés de voies destinées à la circulation piétonne et à des pistes cyclables.</p>
<p>● de 500 unités résidentielles, commercialisées aux Mauriciens comme aux étrangers, ainsi qu’un Appart Hotel ;</p>
<p>● d’une architecture basse de style tropical privilégiant des toits en bardeaux, des pierres et des teintes chaudes pour se fondre dans la végétation abondante ;</p>
<p>● des habitations sous formes d’appartements, de penthouse, de villas authentiques, de villas tropicales, de villas prestiges, de duplex avec piscine individuelle ;</p>
<p>● d’un jardin tropical ornant les rues, les allées, les espaces ouverts et les jardins privés autour des espaces résidentiels et commerciaux.</p>
Publicité
Publicité
Les plus récents