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50 ans de l’UoM: la fierté d’une histoire peu connue

10 décembre 2015, 11:14

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50 ans de l’UoM: la fierté d’une histoire peu connue

Maya Hanoomanjee, speaker de l’Assemblée nationale, Arnaud Dalais, Chairman du Groupe CIEL et Group Chief Executive d’Alteo, Francois Woo, directeur générale de la Compagnie mauritienne de textile, Cassam Uteem, ancien président de la République. Leur point commun : ce sont tous des alumni – des anciens – de l’université de Maurice (UoM). L’établissement a fêté, jeudi 10 décembre, son jubilé d’or.

 

Lors d’une cérémonie officielle marquant cet évènement, le Premier ministre et plusieurs alumni ont retracé son histoire. «L’université de Maurice a soutenu l’agenda du gouvernement. Elle a, pendant cinquante longues années, répondu promptement à nos besoins», a soutenu le chef du gouvernement.

 

Le pro-chancelier de l’UOM, Preeaduth Chitamun a abondé dans le même sens. «Fondée en 1965, l’université de Maurice est, sans conteste, la première institution à Maurice, que ce soit en tant que pionnière qu’en tant que pourvoyeuse de diplômes dans le pays», a-t-il indiqué. Et d’ajouter qu'«en 1968, l’on comptait 480 étudiants, aujourd’hui il y en a 13 000. Cela représente cinquante années de dur labeur et d’engagement».

 

Geoffroy Boulton, Regius Professor Emeritus, ex-vice-recteur de l’université d’Edimbourg, a fait un exposé sur le thème «The Modern Challenges for Universités». Il a énuméré les problèmes sociétaux présents et à venir et comment les universités devraient relever les défis qui y sont associés.

 

 

 

Le chancelier de l’UoM, Jean Claude Autrey, a, lui, fait ressortir que «nous allons promouvoir une culture de philanthropie et de service et celle d’un haut niveau de réalisations. Nous allons être proactifs avec nos anciens étudiants, avec des philanthropes, des entités philanthropiques et avec des partenaires dans la communauté qui nous entoure ainsi qu’avec des professionnels et des industriels pour les encourager à contribuer de façon multiples pour soutenir nos actions et leur développement et ainsi assurer qu’elles soient de qualité et mutuellement bénéfiques».

 

 

Pour la ministre de l’Education, Leela Devi Dookun-Luchoomun, «l’université de Maurice a un rôle majeur à jouer d’autant que l’attente des étudiants, désormais, est de plus en plus grande».

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